Comment puis-je sais si cétait vrai ?

ในห้อง 'ทวีป ยุโรป' ตั้งกระทู้โดย Toutou, 25 ธันวาคม 2006.

  1. Toutou

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    Comment puis-je sais si c'était vrai ?

    <table id="AutoNumber1" border="0" cellspacing="0" height="88" width="100%"><tbody><tr><td height="61" width="100%">Comment puis-je sais si c'était vrai ?
    La liberté à douter

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    </td></tr></tbody></table>


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    Quelques religionistes essayent de maintenir leurs disciples dans l'obscurité ; on ne leur permet pas de toucher d'autres objets ou livres religieux. Ils sont chargés de ne pas écouter la prédication d'autres religions. Ils sont encouragés pour ne pas douter des enseignements de leur propre religion, quelques soient réfutables leurs enseignements peuvent sembler être. Plus qu'ils gardent leurs disciples sur une idée fixe, plus plus facilement ils peuvent les garder sous la commande. Si quelqu'un entre eux a eu la liberté d'exercices de pensée et se rend compte qu'il avait été dans l'obscurité tout ce temps-là, alors on lui allègue que le diable a possédé son esprit. Le pauvre homme n'est donné aucune occasion d'employer son bon sens, son éducation, ou son intelligence. Ceux qui souhaitent changer leurs vues sur la religion sont enseignés à croire qu'ils ne sont pas assez parfaites pour être permis d'employer la volonté libre en jugeant n'importe quoi pour eux-mêmes.

    « Vont en avant, O bhikkhus, pour le bien des nombreux, pour le bonheur des nombreux, hors de la compassion pour le monde, pour l'avantage, pour le bon, pour le bonheur des dieux et des hommes. Ne laissez pas les deux aller dans un sens unique. Prêcher la doctrine qui est belle dans son commencement, belle à son milieu, et belle dans sa fin. Déclarer la vie sainte dans sa pureté, complètement toutes les deux dans l'esprit et la lettre. ~ Mahavagga, Vinaya Pitaka »

    Avec les mots ci-dessus, le Bouddha lance la religion du missionnaire pour la première fois dans monde. C'était une religion de missionnaire avec le plus noble des objectifs, parce que il n'en était pas de gagner des personnes pour la puissance de la religion, ni pour la gloire d'un être vivant, mais pour le bonheur et l'avantage de ceux qui recevraient les enseignements. Dans la totalité de son histoire, le bouddhisme n'est pas épandu par la conquête, ni par la colonisation mais paisiblement par l'enseignement de ses disciples et les exemples nobles de leurs vies étant vécues dans la paix et le bonheur.

    Les bouddhistes n'essayent pas d'influencer d'autres religionists pour venir embrasser leur religion pour le gain matériel. Ni ils essayent d'exploiter la pauvreté, la maladie, l'analphabétisme et l'ignorance afin d'augmenter la population bouddhiste. Le Bouddha a conseillé ceux qui ont indiqué leur souhait pour le suivre, pour ne pas être précipités en acceptant ses enseignements mais pour le considérer soigneusement et pour déterminer pour eux-mêmes s'il était correct ou vrai.

    « Faites une recherche appropriée d'abord. La recherche appropriée est bonne pour une personne bien connue comme vous-même. »

    Maintenant je suis bien plus heureux et satisfait quand le seigneur dit à moi : «
    Faites une recherche appropriée d'abord. » Pour si les membres d'une autre religion m'avaient fixé car un disciple ils aurait défilé une bannière tout autour de l'énonciation de ville : « Upali a joint notre religion. » Mais le seigneur dit à moi : « Faites une recherche appropriée d'abord. La recherche appropriée est bonne pour une personne bien connue comme vous-même. » ~ MI 139 "



    Le sutta de Kalama décrit une occasion quand le Bouddha s'est arrêté dans un village pour enseigner. Plus tôt, plusieurs autres professeurs religieux avaient traversé le même village, tous réclamaient que leur religion était la seule qui soit correcte. Les villageois, hors du grand respect pour le Bouddha, lui ont alors demandé lesquels de ces enseignements ils devraient accepter. Le Bouddha a répondu qu'ils devraient prendre une décision considérée après l'avoir réfléchi de tous cotés, en utilisant leur propres raison et jugement. Il était plus soucieux que ses disciples comprennent son enseignement.

    « Ne pas aller par révélation ou tradition, ne pas aller par rumeur, ou les scriptures sacrés, ne pas aller par rumeur ou seule logique, ne pas aller par polarisation vers une notion ou par la capacité semblante d'une autre personne et ne pas aller par l'idée « qu'il est notre professeur ». Mais quand vous savez vous-même qu'une chose est bonne, qu'elle n'est pas blâmable, qu'elle est félicitée par le sage et une fois pratiqué et observé qu'il mène au bonheur, alors suit ce ~ Kalama Sutta »

    Le bouddhisme n'est pas dogmatique. Ni l'un ni l'autre il demande à des personnes de l'accepter par la foi sans visibilité. Dans les scriptures on nous rappelle constamment aux choses que nous ne devrions pas aveuglément croire, mais plutôt interroger, examiner, s'enquérir et compter sur notre propres expérience et jugement. Aucune autre religion n'ose ni peut donner le permis semblable à ses disciples, parce que le fait de le faire ainsi leur permettrait d'ouvrir leurs esprits et de remettre en cause leur foi. Après tout, la foi est simplement une saisie continuelle d'une croyance que la raison et la logique d'une personne indiquent qu'elle n'est pas vraie.

    Le Bouddha a confirmé le degré de liberté le plus élevé non seulement dans son essence humaine mais également de ses qualités divines. C'est une liberté qui ne prive pas l'homme de sa dignité. C'est une liberté qui libère un de l'esclavage aux dogmes, aux lois religieuses autoritaires et aux superstitions périmées.

    Traduit à partir de : http://www.parami.org/buddhistanswers/kalama_sutta.htm
     
    แก้ไขครั้งล่าสุด: 26 ธันวาคม 2006

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